Terminée • WILCOX LIVIAE HUDSON ▲ Sometimes I pretend to be normal.

Réponse brève; Depuis ma plus jeune enfance j'ai toujours cru au paranormal, si quelque chose me passionne plus que cela qu'il se fasse connaître, souvent j'ai même pensé faire des études dessus, mais rien n'y fait cela reste une passion qui ne fera jamais partie de ma vie en dehors du personnel, malgré cela je ne peux m'empêcher de faire des recherches dès que j'ai du temps libre. L'apparition de ces phénomènes à Byron Bay, me donne d'autant plus envie de connaître la vérité.
Réponse détaillée; Je suis étudiante en Littérature, une chose est sûre, les récits, je connais, je connais beaucoup de choses, depuis mon enfance, j'ai été destinée à cette vie, à croire au paranormal, ce que personne ne sait, c'est que j'ai une passion irrévocable envers le paranormal est tout ce que cela comporte, cette impression de peur à chaque fois que j'y pense, ne fais que me donner envie d'en savoir encore un peu plus chaque jour, j'ai déjà vécu des situations paranormales, mais cela n'est rien contrairement à ce que je voudrais savoir, je voudrais connaître tout ce qui concerne le sujet, savoir tout. Ma famille a toujours cru a toutes ces histoires que racontait les habitants de Byron Bay.

Oui, mais je me souviens seulement de quelques détails, j'étais encore une toute petite jeune fille quand j'ai été trainée au sol durant une dizaine de minutes par les pieds, le problème, c'est que personne ne maintenait cette pression qui m'écrasait au sol.

Oui, je crois bien qu'il peut se passer quelque chose au bout de deux-cent ans de silence, quelque chose a pu réveiller cette malédiction, mais quoi, je crois que c'est possible, mais rien ne le prouve, j'attends de connaître plus de détails.

Je n'ai que très peu entendu parler d'elle, mais c'est temps-ci elle se fait connaître de plus, je ne pense pas qu'avoir le coeur brisé puisse causer de tels chagrins, attendez un peu, ça arrive à beaucoup de personnes, seulement c'est à cause de sa moralité qu'elle est censée maudire tout le monde, si elle avait pris le temps de comprendre que « son homme » ne valait qu'une poignée de centime, elle ne serait surement pas morte depuis déjà deux-cent ans.